Des faits le plus minutieusement reconstitués, il ne dégageait rien, sinon que la découverte des deux charretiers de Dizy était pour ainsi dire impossible.
Le dimanche - c'était le 4 avril -, la pluie s'était mise à tomber à verse dès trois heures de l'après-midi.
A ce moment, il y avait dans le port, au-dessus de l'écluse 14, qui fait la jonction entre la Marne et le canal latéral, deux péniches à moteur avalantes, un bateau de déchargement et une vidange.
Un peu avant sept heures, alors que commençait le crépuscule, un bateau-citerne, I'Eco-III, s'était annoncé et avait pénétré dans le sas.
Le dimanche - c'était le 4 avril -, la pluie s'était mise à tomber à verse dès trois heures de l'après-midi.
A ce moment, il y avait dans le port, au-dessus de l'écluse 14, qui fait la jonction entre la Marne et le canal latéral, deux péniches à moteur avalantes, un bateau de déchargement et une vidange.
Un peu avant sept heures, alors que commençait le crépuscule, un bateau-citerne, I'Eco-III, s'était annoncé et avait pénétré dans le sas.